J’ai fait mes études de chirurgie dentaire à Toulouse. Je suis chirurgien-dentiste depuis 1979. J’ai par la suite fait ma spécialisation à Paris où j’ai obtenu mon diplôme de spécialiste en orthodontie en 1987. J’ai pratiqué dans la ville de Chartres pendant quelques années.

Je me suis installé à Toulouse depuis 1992 dans mon cabinet, 5 rue Genty Magre (accès). Parallèlement, j’ai été sollicité pour pratiquer des vacations en Afrique au Congo, en Angleterre à Londres et en Suisse.

Actuellement, j’exerce également dans un cabinet parisien de pédodontie rue du cherche midi où je traite exclusivement des enfants.

Je suis membre de sociétés scientifiques telle que la société Bio-progressive, la société française d’orthopédie dento-faciale, la société française d’orthodontie linguale. Cela permet d’être toujours au fait des nouveautés et des nouvelles technologies ainsi que les nouvelles techniques et philosophie des traitements.

Je pratique également l’orthodontie dite orthodontie fonctionnelle c’est-à-dire qui s’attache beaucoup à tout l’environnement musculaire et squelettique de la face.

Cela fait plus de vingt-cinq ans que je pratique l’orthodontie linguale où les bagues sont placées à l’intérieur, sur les faces non visibles des dents.

J’ai publié certains articles car je m’intéresse beaucoup à l’environnement squelettique. J’ai mis au point des techniques pour corriger des décalages squelettiques aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte qui permettent d’éviter un recours à la chirurgie.

De ce fait, je fais très rarement appel à des extractions dentaires dans le but d’aligner les arcades dentaires car les encombrements dentaires sont provoqués, la plupart du temps, par les décalages entre maxillaire et la dysfonction musculaire qui s’y associe. Le décalage squelettique entre les mâchoires corrigé, les encombrements dentaires peuvent être réduits. Il n’est plus nécessaire, alors, d’avoir recours à des extractions dentaires.

Quelquefois il est utile de réaliser des gestes simples chez les enfants en bas âge afin d’intercepter des malformations futures. J’ai recours pour cela à des appareils mobiles dont le port varie de 3 à 6 mois et qui permettent d’attendre sereinement l’évolution des dents permanentes dans un contexte de croissance équilibrée.

J’utilise toujours des forces légères, afin d’éviter des tensions trop importantes sur les dents, suffisantes à leur déplacement et plus agréables pour le patient.